Quinzième arrondissement

22, avenue du Maine

Lorsque la famille s’installe 22, avenue du Maine alors que l’atelier est à trois pâtés de maison, dans l’impasse du Maine, devenue rue Antoine-Bourdelle, Dalou est reconnu, devenu sculpteur officiel, bien introduit dans les milieux politiques, avec l’appui de Viollet-le-Duc. C’est ici qu’il mourra le 15 avril 1902, à 63 ans.

Sa dernière demeure sera le cimetière Montparnasse.

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18bis, rue Antoine-Bourdelle ( ex impasse du Maine).

L’impasse du Maine était une voie privée de 150 mètres qui débouchait avenue du Maine. En 1913, elle fut prolongée jusqu’à la rue Falguière et devint en 1930 rue Antoine Bourdelle.

C’est dans cette impasse qu’Eugène Carrière avait son atelier. En 1879, Jules Dalou, de retour d’exil à Londres, devint son voisin ; ce sera son atelier jusqu’à sa mort en 1902. C’est dans cet atelier que vont naître la douzaine d’œuvres monumentales qui ornent places et jardins de Paris.

Il fut détruit en 1961 pour construire l’extension du musée Bourdelle.

Dalou, Carrière, Falguière puis Bourdelle ; nous sommes dans le quartier des sculpteurs.